scrap digital, inspiration Azza

repère   - localisation  

sculpture ou projet ?  (photo VDS)

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frère de Gouesnou (site Docèse de Quimper), fils de Ténénan (Wikipédia.org)

texte - libre interprétation - source : Grand Terrier

Comme tant d'autres, il traversa la Manche sur une auge en pierre. Venant du Pays de Galles, il bâtit son ermitage près de l'Abert Benoit,  à Lokmajan, la source devint miraculeuse et guérissait les souffrances de l'âme. Le bateau de Majan servit à aménager la fontaine, qui fut détruite par les Vikings. 

Ceux-ci restèrent quelques années, certains se marièrent avec des bretonnes, la plupart repartirent, et le temps passa. 

Le seigneur du coin était inquiet, son fils était chétif, son domaine risquait de tomber aux mains des Trouzilit, seigneurs sans vergogne. Un jour qu'il passait près de la fontaine, il entendit une comptine chantant les louanges de Majan. La petite fille qu'il interrogea lui dit "Si on retrouvait l'auge, Majan nous protégerait à nouveau". Le Seigneur fit son enquête, et sentit que les vieux arbres avaient quelque chose à raconter. Il lui fallait trouver quelqu'un parlant le langage des arbres..

Il se mit en route pour l'Arrée, rencontra un ermite qui comprenait le langage des pierres... Continuant vers les montagnes noires, il rencontra un vieil homme qui parlait aux oiseaux et même aux poissons..

A Huelgoat, l'ami des arbres lui dit qu'il comprenait les pins, les saules et les chênes. Si bien qu'il les entendait souffrir et pleurer sous les coups de hache ou dans les flammes, aussi sortait-il peu de sa forêt. Il accepta de suivre le seigneur, sous condition qu'il lui fit promesse de ne plus jamais abattre ou utiliser un arbre vivant. La rupture de la promesse aurait de graves conséquences.

Quand ils arrivèrent à Pen ar Van, l'enfant semblait proche de la mort. Le vieux sage de Huelgot écouta longuement les arbres, qui lui indiquèrent où se trouvait l'auge de Majan. On creusa les bords de l'Aber Benoit, l'auge fut sortit, l'enfant y baigna ses pieds et guérit, comme de nombreux autres malades après lui.

Des siècles passèrent, l'histoire fut oubliée.. et un seigneur de la région défricha la forêt pour bâtir les bateaux du roi.. l'arbre le plus ancien s'abattit sur la fontaine et brisa l'auge de Majan. Une belle pierre qui restait fut utilisée pour le dessus du puis, au Prat.

repère 44 - positionnement A2

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photo personnelle   / Texte : libre interprétation - source  - Wikipédia

Texte : libre interprétation, source Info Bretagne - Diocèse de Quimper

A sa naissance, sa mère l'avait jeté à l'eau avec ses 6 frères jumeaux.. trop c'est trop ?

Son travail : les vers intestinaux, les morsures de serpent  (il suffit de manger un peu de terre de l'île de St Maudez, délayée d'eau et de miel)  et les enflures du genou. A la Croix Hélléan, les enfants chétifs étaient plongés 7 fois dans la fontaine, sur une incantation "à la vie, à la mort".. Le saint décidait du sort des enfants, guérison ou décès.

L'escalier de la connaissance et le livre sont les symboles de ce saint

Son peniti (Forn - Vodez), serait toujours debout sur l'ile Modez (Bréhat).

repère   - localisation  

sculpture  2020 photo VDS

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 / Texte : libre interprétation - source - diocèse de Quimper - Wikipédia

Né paysan à Croixanvec, il fit ses études à Paris avant de revenir à l'abbaye de Langonnet. Il avait 31 ans quand il fut nommé abbé, et il y resta pendant 30 ans avant de fonder l'abbaye de Clohars Carnoet.

Il était encore enfant quand il fit son premier miracle ; chargé de jouer les épouvantails dans un champ, il ordonna aux corbeaux de le suivre dans une grange où il les enferma (des fresques illustrant cet épisode seraient encore visibles sur le murs de la chapelle St Maurice à Loudéac). Plus tard, l'abbaye de Carnoët étant envahie par les rats, Maurice appela deux gigantesques corbeaux à sa rescousse : ils se chargèrent d'éliminer les rats, et même d'éliminer les déchets.  Il lutta aussi contre les loups de la région. Il les maudit, et le lendemain un couple de loups fut retrouvé morts au bord d'une fontaine ... par la suite, et jusqu'à la mort de Maurice, aucun loup n'osa s'attaquer à un enfant.

repère   104 - localisation  c2

sculpture  

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photo  Ggal pour Wikimédia  / Texte : libre interprétation - source  - Wikipédia

Il fonda son ermitage, puis un monastère, à Vertou.

Lorsqu'il planta son bâton de pèlerin dans le sol, celui-ci prit racine et se transforma en if, désormais présent sur le blason de la commune de Vertou

cf  motte castrale

En 2022, je ne l'avais pas identifiée, et j'hésitaits entre  Majan, Jili ou Melan  ??

Je pencherai pour Melan (Melaine en français)... (je confirme, je l'ai enfin trouvé sur le site de la Vallée des Saints)

 Texte : libre interprétation - source - diocèse de Quimper - Grand Terrier 

Né près de Redon vers 450, en pays Gallo Romain, il transforma sa maison en monastère... Devenu conseiller de Clovis, il s'illustra en s'opposant à des moines bretons qui s'immiscèrent sur son territoire, et aurait participé à l'élaboration d'un compromis avec St Patern pour établir un traité entre les Francs, les Bretons et les Gallo-Romains.

Des miracles se seraient produits après sa mort, parmi lesquels la libération de voleurs : au passage de sa barque, un brèche se crée dans la tour de la prison, et les chaines tombent.

repère 58  - localisation  a1

sculpture 2015  

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photo  Ggal pour Wikimédia  / Texte : libre interprétation, source Info Bretagne   - 

D'un simple bâton frappé sur le sol, il fit jaillir une source dont l'eau délicieuse guérissait certaines maladies. C'est bien peu de choses comparé au fait qu'il terrassa un dragon, et  Dieu lui avait aussi offert  le pouvoir de faire fuir les sangliers et les cerfs qui abîmaient les cultures.. 

Premier abbé de Gaël au VIè siècle, il s'attaque aux maladies de peau, la gale (qui atteignait surtout les mains, d'où l'invocation de St Méen ou St Main), la teigne, ainsi qu'au rachitisme. A la fontaine de St Meen à Ploemel, les malades boivent l'eau, et les enfants rachitiques y sont baignés.

On raconte qu'il prêchait depuis la "chaire de St Meen", sur la lande entre la Chapelle et Montertelot.

repère 68  - localisation  c2

sculpture  2016

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photo personnelle / Texte : libre interprétation - source - diocèse de Quimper - Wikipédia

Après avoir tué son père (St Miliau)   son oncle Rivod tenta  d'empoisonner Méloir, qui n'avait alors que 7 ans. Sans résultat : Meloir faisait un signe de croix sur chacun de ces repas, neutralisant ainsi le poison.

Il  l'amputa de la main droite et du pied gauche : ne pouvant ni monter à cheval, ni tenir une épée, Melar ne pouvait plus régner, et Rivod aurait dû devenir le nouveau roi...  si, après cicatrisation, une main d'argent et un pied d'airain n'avaient repoussé miraculeusement ! 

Il y eut bien d'autres tentatives. Un jour qu'il était poursuivi, le saint pria et se coucha au bord du chemin : la terre se creusa, les herbes et les fleurs se rejoignirent, et les assassins passèrent sans le voir. Cet endroit, appelé Gwele Sant Melar (le lit ;..) se trouve dans l'enceinte de la chapelle St Eloy, entre Botsorhel et Plouigneau.

Il fut confié à un précepteur, Kerialtant,  qui, après quelques péripéties, réussit à le faire assassiner par son fils,  Justan. Justat mourut presque aussitôt après, et  Rivod accorda à Kerialant quelques terres, récompense promise. Rivod se rendit sur une colline pour admirer son royaume, malheur ! Lorsqu'il ouvrit les yeux, il ne voyait plus rien ! Devenu aveugle, il mourut, ainsi que Rivod, déchiré par le remords.

Le corps et la tête de Mélar furent transportésvers les Monts d'Arrhée, où ils devaient être conservés séparément, une partie par les Cornouaillais, l'autre partie par les Domnonéens, mais la tête bondit joyeusement pour rejoindre le corps. Il fut inhumé à Lanmeur, le char funéraire refusant d'aller plus loin. Sa vie est racontée sur la chaire à prêcher de l'églse de Lanmeur.

De Lannéanou à Lanmeur, le chemin porte le nom de Hent sant Melar (le chemin de St Mélar)

repère 45  - localisation  b1

sculpture  2014

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photo personnelle / Texte : libre interprétation - source  - Argedour

le Petit Prince en Kabig et pantalon marin 

selon la légende, 7 orphelins septuplés ont été nourris par une biche (ou une chèvre). Merec était l'un d'eux, Ils sont tous devenus évêques. Les autres : Dardanow, Gonéri, Jelann, Joret,  Kidik et  Launek, et ils auraient tous pris le nom de Merec comme nom de famille.

repère 143  - localisation  a1 Ouest

sculpture  2021

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photos personnelles

j'ai lu qu'il était sans doute disciple de Tudwal, une église lui est dédiée à Mantallot... je crains de ne rien trouver d'autre...