Bonjour à toutes et à tous … Ce blog est toujours centré sur le scrap, même si pour l’instant j’ai renoncé à offrir des maquettes (mes pages actuelles n’en présentent pas suffisamment d’intérêt – vous en trouverez dans mes archives si vous le souhaitez). ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Les abonnés reçoivent des annonces les guidant vers des dates de publication « théoriques » parfois anciennes, tous les liens utiles sont communiqués en page d’accueil « les nouvelles pages ». ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Actuellement, je m’intéresse à la découverte du Finistère, au travers de promenades et par une exploration de ses communes sur Internet. J’utilise mes photos personnelles et aussi des photos appartenant au Domaine Public ou bien "libres de réutilisation" sous licence CC ou équivalente ; mes pages le sont donc aussi :) : ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Si vous réutilisez mes pages, n'oubliez pas de citer l'auteur des photos, de transmettre le lien utile.. Détails complémentaires à lire en cliquant sur l'archive du mois de novembre 2019. Bonne découverte, et bon scrap !
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Né près de Redon vers 450, en pays Gallo Romain, il transforma sa maison en monastère... Devenu conseiller de Clovis, il s'illustra en s'opposant à des moines bretons qui s'immiscèrent sur son territoire, et aurait participé à l'élaboration d'un compromis avec St Patern pour établir un traité entre les Francs, les Bretons et les Gallo-Romains.
Des miracles se seraient produits après sa mort, parmi lesquels la libération de voleurs : au passage de sa barque, un brèche se crée dans la tour de la prison, et les chaines tombent.
D'un simple bâton frappé sur le sol, il fit jaillir une source dont l'eau délicieuse guérissait certaines maladies. C'est bien peu de choses comparé au fait qu'il terrassa un dragon, et Dieu lui avait aussi offert le pouvoir de faire fuir les sangliers et les cerfs qui abîmaient les cultures..
Premier abbé de Gaël au VIè siècle, il s'attaque aux maladies de peau, la gale (qui atteignait surtout les mains, d'où l'invocation de St Méen ou St Main), la teigne, ainsi qu'au rachitisme. A la fontaine de St Meen à Ploemel, les malades boivent l'eau, et les enfants rachitiques y sont baignés.
On raconte qu'il prêchait depuis la "chaire de St Meen", sur la lande entre la Chapelle et Montertelot.
Après avoir tué son père (St Miliau) son oncle Rivod tenta d'empoisonner Méloir, qui n'avait alors que 7 ans. Sans résultat : Meloir faisait un signe de croix sur chacun de ces repas, neutralisant ainsi le poison.
Il l'amputa de la main droite et du pied gauche : ne pouvant ni monter à cheval, ni tenir une épée, Melar ne pouvait plus régner, et Rivod aurait dû devenir le nouveau roi... si, après cicatrisation, une main d'argent et un pied d'airain n'avaient repoussé miraculeusement !
Il y eut bien d'autres tentatives. Un jour qu'il était poursuivi, le saint pria et se coucha au bord du chemin : la terre se creusa, les herbes et les fleurs se rejoignirent, et les assassins passèrent sans le voir. Cet endroit, appelé Gwele Sant Melar (le lit ;..) se trouve dans l'enceinte de la chapelle St Eloy, entre Botsorhel et Plouigneau.
Il fut confié à un précepteur, Kerialtant, qui, après quelques péripéties, réussit à le faire assassiner par son fils, Justan. Justat mourut presque aussitôt après, et Rivod accorda à Kerialant quelques terres, récompense promise. Rivod se rendit sur une colline pour admirer son royaume, malheur ! Lorsqu'il ouvrit les yeux, il ne voyait plus rien ! Devenu aveugle, il mourut, ainsi que Rivod, déchiré par le remords.
Le corps et la tête de Mélar furent transportésvers les Monts d'Arrhée, où ils devaient être conservés séparément, une partie par les Cornouaillais, l'autre partie par les Domnonéens, mais la tête bondit joyeusement pour rejoindre le corps. Il fut inhumé à Lanmeur, le char funéraire refusant d'aller plus loin. Sa vie est racontée sur la chaire à prêcher de l'églse de Lanmeur.
De Lannéanou à Lanmeur, le chemin porte le nom de Hent sant Melar (le chemin de St Mélar)
selon la légende, 7 orphelins septuplés ont été nourris par une biche (ou une chèvre). Merec était l'un d'eux, Ils sont tous devenus évêques. Les autres : Dardanow, Gonéri, Jelann, Joret, Kidik et Launek, et ils auraient tous pris le nom de Merec comme nom de famille.
Guerrier celte redoutable, il aurait aussi courtisé toutes les filles du village et eut sans doute de nombreux enfants avant de se marier avec Awrilla, la fille de Winnoc. Il a 35 ans, elle 16. Tout va bien.
Son frère Rivode le décapite pour devenir roi à sa place, et s'attaque aussi à son fils Mélar ; l'histoire est racontée sur un retable de l'église de Guimiliau.
Père du pain et maître du vin, il vécut en pays vannetais. Il cachait du pain pour le donner aux pauvres. Son seigneur eut des soupçons et lui demanda d'ouvrir son manteau, Milion transforma le pain en morceaux de bois pour ne pas être découvert...
Malgré tout, il fut contraint à l'exil et fonda son ermitage en Gironde.
Il aida Joseph d'Arimathie lors de la mise au tombeau de Jésus.
En Bretagne, selon les communes, il protège les chevaux, les bêtes à cornes ou les porcs. Sur cette statue, il porte une tête de cochon dans les mains.