Bonjour à toutes et à tous … Ce blog est toujours centré sur le scrap, même si pour l’instant j’ai renoncé à offrir des maquettes (mes pages actuelles n’en présentent pas suffisamment d’intérêt – vous en trouverez dans mes archives si vous le souhaitez). ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Les abonnés reçoivent des annonces les guidant vers des dates de publication « théoriques » parfois anciennes, tous les liens utiles sont communiqués en page d’accueil « les nouvelles pages ». ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Actuellement, je m’intéresse à la découverte du Finistère, au travers de promenades et par une exploration de ses communes sur Internet. J’utilise mes photos personnelles et aussi des photos appartenant au Domaine Public ou bien "libres de réutilisation" sous licence CC ou équivalente ; mes pages le sont donc aussi :) : ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... Si vous réutilisez mes pages, n'oubliez pas de citer l'auteur des photos, de transmettre le lien utile.. Détails complémentaires à lire en cliquant sur l'archive du mois de novembre 2019. Bonne découverte, et bon scrap !
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sur Piron, je n'ai trouvé aucune info ; ).. toutes mes recherches me ramenaient à Peran / Piran..., excepté un Abbé Piron né en 1748 (je pense que l'on peut exclure le propriétaire du site "Jacquie et Michel ?)
A deux ans, il fut sauvé des griffes d'un dragon par Derrien et Néventer, chevaliers originaires de l'île de Bretagne.. Derrien mit son écharpe au cou du dragon, qui le conduisit à l'enfant, qui le conduisit à son père. En remerciement, le seigneur Elorn, sa femme et Riok se convertirent au christianisme, et firent construire l'église de Plou Néventer.
Après la mort de sa mère, Rioc vécut en ermite près de Camaret, sur un rocher dans la mer, avant de rejoindre Guénolé à Landévennec.
La croix qu'il porte dans ses bras se transforme en ancre à ses pieds..
Le sceau de l'Abbaye de Beauport est un navire voguant sur l'eau, deux personnages à bord - sans doute St Maudez, chapé et mitré, tenant la croix, et un religieux tenant une crosse : St Riom. On a pu imaginer alors que les deux hommes avaient traversé la Manche ensemble, mais ce serait sans doute erroné. L'abbaye des Augustins aurait conservé ses reliques : sa tête et un os du bras
J'ai beaucoup douté du seul lien trouvé, évoquant un saint né à Montpellier vers 1300, mais l'histoire ressemble beaucoup à la sculpture. Je vous la résume ici (voir l'article complet sur Objets religieux
Né avec une marque rouge en forme de croix au front, il semblait voué à la religion. Il donna son héritage aux pauvres, confia la gouvernance de la ville à son oncle et partit en pèlerinage à Rome. Traversant des villes ravagées par la peste, il y reste et soigne les malades d'un simple signe de croix.
Après Rome, il s'aperçoit qu'il a finalement contracté la maladie, et se réfugie dans une cabane abandonnée dans la forêt. Une source jaillit miraculeusement pour lui apporter son eau fraîche. Un chien de chasse le prend en pitié, et vient chaque jour lui apporter de la nourriture et lécher ses plaies, le maître du chien s'en aperçoit et vient aussi en aide à Roch, qui ne tarde pas à guérir.
De retour à Montpellier, il trouve une ville en guerre. On l'accuse d'être un espion, il est jeté en prison par son oncle lui-même et il y mourut 5 ans plus tard, malgré les bons soins prodigués par les anges.
Le prêtre chargé de lui donner les derniers sacrements trouve la cellule éclairée de manière extraordinaire, et le prisonnier entouré d'un rayonnement.
Tout ceux qui l'invoquent sont depuis protégés contre la peste. Une nouvelle épidémie vers 1414, mais les religieux se sont rappelé de Roch, organisèrent processions et prières, et la peste fut ainsi vaincue.
Il est souvent représenté en pèlerin avec un bâton de marche, un coquillage (pour St Jacques), une plaie ouverte à la jambe, un chiens à ses pieds et un ange pas trop loin.
Il est le saint patron des chiens, de leurs propriétaires, des chirurgiens, des invalides, des célibataires, des chirurgiens. On l'invoque aussi contre les problèmes de genoux, les maladies du bétail, le choléra, la peste, les éruptions cutanées, les maladies contagieuses et les épidémies.
Il porte une cloche, pour appeler àte : libre interprétation - source - Wikipédia
Né en Irlande au VIè siècle, il part pour l'Armorique ou il vécut d'abord à St Renan, avant de s'installer à Locronan. Un jour, il vit un loup tenant dans son bec sa gueule un mouton, suivi par un homme en pleur. Sur prière de Ronan, dieu sauva le mouton, et l'homme vint souvent le revoir. Mais sa femme (Keben) n'était pas contente, elle l'accusa d'avoir ensorcelé sa famille. Elle alla voir Gradlon et lui raconta que Ronan avait tué leur fille (qu'elle avait en fait enfermée dans un coffre) et qu'il se transformait en loup. Ronan fut attaché à un arbre, deux chiens affamés furent lâchés sur lui... d'un simple signe de croix il les fit reculer.
Gradlon comprit tout, on alla voir le coffre : l'enfant était morte, mais Ronan la ressuscita.
Lorsqu'il mourut à St Brieuc, un paysan décida de lui couper un bras pour le garder en relique. Pendant la nuit, son propre bras de détache du corps du paysan, qui court rendre le sien à Ronan.. bien évidemment, il retrouva aussi le sien.
Sur le chemin du cimetière, la charrette qui transportait le corps de Ronan croisa Keben qui se moqua du saint. La terre s'ouvrit et aspira Keben dans les flammes et la fumée, ce lieu s'appelle "la tombe de Keben". On raconte aussi que Keben brisa la corne d'un des boeufs du convoi funéraire, qui tomba sur ce qui devint la "plas ar Horn"
Près de Locronan, la "chaise de St Ronan" est un rocher naturel, ou peut-être un menhir couché de 13 mètres. Le site fait partie des étapes de la Grande Troménie.
ce surnom vient de la couleur des robes de franciscains... ou peut-être au fait qu'il marchait pieds nus et se lavait peu ?
Jean Discalceat, le "Déchaussé", Jean sans sabot...
A Quimper la petite statue située au fond de la cathédrale occupe une grande place dans la tradition. En 1316, il rejoint l'ordre franciscain, et conserve un esprit de partage ; en 1344, il organise la solidarité pendant le siège de la ville par l'armée de Charles de Blois. La peste noire ne l'empêcha pas de soigner les malades, mais l'emporta en 1349. Sous la statuette, les offrandes, pain ou autre nourriture, sont déposées pour nourrir ceux qui en ont besoin - elles aideraient aussi à apporter le beau temps
On dit aussi qu'il aide a retrouver des objets perdus ou volés
évêque écossais du VIIè siècle. Après avoir été évêque de Canaan, il traverse la Mer Rouge à gué, devient pape à Rome, traverse la Manche à pied sec et arrive en Ecosse, où il bâtit son monastère, à Culrooss. On raconte aussi qu'une année de disette, un pauvre paysan apporta un cochon à l'abbaye, pour que les moines puissent célébrer Noel. A la fin du repas, apprenant la provenance du cochon, Servan en demanda les os. Le cochon reprit vie et fut remis au paysan.
Né en Irlande en 402, il quitte l'île pour un pèlerinage à Rome, devient disciple de Patrick, puis arrive à Kerlouan où il rencontre Brévalaire. Il fonde son monastère à Guissény.
statue : sur son bateau, un chien à ses côtés (*), il porte son étole d'évêque et tient une masse de tailleur de pierre