Bonjour à toutes et à tous … Ce blog est toujours centré sur le scrap et la proposition de maquettes gratuites (format SCALB). Pour les semaines qui viennent, elles seront illustrées par une découverte du Finistère, à travers une exploration virtuelle de ses communes. Les photos utilisées appartiennent au Domaine Public ou bien sont "libres de réutilisation" sous licence CC ou équivalente ; mes pages le sont donc aussi :) : les maquettes, sans restriction ; pour les photos, n'oubliez pas d'en citer l'auteur véritable et de transmettre le lien utile.. Détails complémentaires à lire en cliquant sur l'archive du mois de novembre 2019. Bonne découverte, et bon scrap !
... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... ps : vos commentaires ne sont pas publiés automatiquement, pour éviter un afflux de spams sur le blog, désolée ! ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... .... ... ... ... ... ... ... pps : vous retrouverez les pages "Morbihan" dans les archives (Juillet 2017)
Lui est né en Bretagne vers l'an 375 : ce sont ses parents qui venaient de Grande Bretagne. Pour mieux étudier, il se retira dans la forêt de Nemet, près du Menez Hom.
Près de son ermitage vivait un poisson, dont Corentin prélevait chaque jour une portion .. qui repoussait pendant la nuit... Cela lui permit d'accueillir Gradlon, roi d'Armorique, de le revigorer et d'obtenir en remerciement la ville de Quimper pour son évêché. A lire, une version plus complète de la légende surInfo Bretagne
selon la légende, il a traversé la mer sur une auge de pierre.. comme beaucoup de ses copaiins.
Lui, venait du futur Pays de Galles, où il commit déjà quelques miracles. Enfant, il se serait perdu sur une plage, ce n'est que le lendemain matin que les recherches commencèrent. Tous le pensaient emporté par la marée montante, mais ils le retrouvèrent, chantant paisiblement assis sur les vagues, sans même être mouillé.
Arrivé en Bretagne, il fit la connaissance d'Aaron. Sur ses conseils, il se rendit à Alet et y fonde des monastères, Persécuté par les habitants, il part vers la Saintonge. La peste et la famine ne tardèrent pas à s'abattre sur la ville, et on le supplia de revenir pour conjurer ces fléaux, ce qu'il fit. . Puis il repartit en Saintonge où il mourut.
La ville prit le nom de Malo après le rapatriement des reliques : la tête et la main droite de Malo, au VIIIè siècle.
Après avoir chassé le diable, il fut piqué par un serpent venimeux
Caradoc de la Table Ronde le fit nommer evêque à Vannes, fonction qu'il occupa avant de se retirer dans un ermitage où il mourut, vers 475, totalement oublié.
Un siècle plus tard, une terrible sècheresse dura 3 ans, générant a famine. Les paroissiens, ne sachant que faire, prièrent Patern de leur pardonner les outrages subis,... et une douce pluie arriva. En reconnaissance, l'église St Patern fut construite sur une terre proche de la ville, pour abriter la dépouille de l'ermite. - lire une version plus éruditesur Grand Terrier
Né au Pays de Galles vers 480, il débarqua à Ouessant avec 12 compagnons.
Après avoir été évêque au Castel de Léon, il céda son poste, d'abord à Jaoua, puis à Kétoméren, avant de se retirer sur l'île de Batz.
Un dragon y semait la terreur ; Paol le recouvrit de son étole avant de le jeter à la mer où il périt noyé. Le lieu s'appelle désormais 'Toul ar Sarpent", le trou du serpent.
Ses reliques furent dispersés, mais un ossement de son bras est conservé à St Pol de Léon.
Originaire du Pays de Galles, il débarqua à Trébabu
Se rendant à Occismor (l'ancien nom de la future St Paul de Léon), il rencontre un pauvre malade, à qui il commande de guérir, ce que le mendiant s'empresse de faire, et de faire savoir. Le seigneur du lieu lui accorde la terre qu'il souhaite pour bâtir son monastère, à Trébabu.
Après de nombreuses aventures, un pèlerinage à Rome, et quelques miracles, il arrive à Tréguier où il mourut en 563.
Arrivé à Rome le jour de l'enterrement du pape Léon V, il fut désigné par une colombe qui se posa sur son épaule. Il fut acclamé par les romains, mais réussit à s'enfuir
On raconte entre autres qu'il osa demander de l'eau à une pauvre femme revenant épuisée de la fontaine .. Elle lui en offrit sans hésitation, et pour la remercier il fit jaillir une source près de sa maison. Des miracles, il en fit tant qu'à sa mort on dira "s'il n'est pas dieu le père, c'est qu'il ne l'a pas voulu".
Son père ayant été mordu par un serpent, elle presse son sein pour obtenir un peu de lait, fort apprécié de ces animaux. Elle donne le lait au serpent puis tranche son sein qu'elle jette au loin, avec le serpent. Pour qu'elle n'en souffrit pas trop, Dieu lui offrit un sein d'or.
Accusée à tort d'adultère par sa marâtre, elle fut enfermée au château de Brest, et condamnée à être brulée vive. Elle était enceinte, et on ne sait plus si c'est par bonté, parce qu'il était interdit de bruler une femme enceinte ou peut-être parce le bucher refusa de flamber, sa vie fut épargnée. Elle fut seulement jetée à la mer dans un tonneau.
Un ange la nourrit, elle donna naissance à un fils, et arriva enfin sur la côte irlandaise. La suite appartient à l'histoire de Budoc, son fils... que l'on appelle aussi Bodmaël
Dans ses derniers moments, la marâtre avoua son méfait. Le père et le mari d'Azénor partent à sa recherche, ils reconnaissent sa beauté dans les traits d'un enfant (Budoc) et finissent donc par la retrouver, mais elle meurt pendant la traversée du retour.
Il ne s'agit pas de la Ste Brigitte de Suède, mais de l'Irlandaise Brigitte de Kildare, qui vécut au VIè siècle et n'a pas traversé la mer, ni en bateau, ni sur une auge de pierre, bien que l'on trouve quelques quenouilles de Brigitte parmi nos menhirs...
Les femmes la priaient pour être enceinte, pour que la grossesse se passe bien, que l'accouchement soit facile, pour que les enfants marchent tôt.. et après pour avoir du bon lait.. Maintenant, il arrive qu'elle soit invoquée contre le cancer du sein. Certaines traditions veulent que l'on porte une chemise après l'avoir trempée dans les fontaines de Sainte Brigitte (parfois séchées, parfois encore mouillées.. le miracle est de ne pas tomber malade)
On l'invoque aussi contre les maux d'oreille et la surdité (à Grandchamp), les maux de dents à Plouharnel.. et certains jeunes gens viennent chercher dans la fontaine, l'image de la femme que Brigitte leur destine , avant de se déclarer :)
ce prénom signifie "fleur blanche"... "on ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux" (*) -- est-ce pour cela que son visage n'a pas d'yeux ?